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9 février 2014 7 09 /02 /février /2014 13:40

S'il n'y a pas eu de radiation, et si j'ai accusé le coup face à cette décision,  des choses très positives sont malgré tout actées par la justice.


La décision de la première instance sur le jugement exécutoire est maintenue.

Ainsi, je peux poursuivre mon chemin de croix pour récupérer les sommes que les parties adverses me doivent. C'est cool, ça ne prend pas de temps, je vis sereinement, et, ça ne coûte rien, bien sûr.


D'autres décisions ont pointé le bout de leur nez, mine de rien, coupant ainsi l'herbe sous le pied de mes adversaires, pour la suite des événements judiciaires.


La destruction de la maison n'était pas interdite!


Une autre expertise est dors et déjà rejetée!


Et pourtant, je reçois encore un dossier du constructeur de 80 pages demandant une autre expertise, et ne faisant aucun cas du DVD des photos du démontage de la maison. Il faut dire que les photos sont éloquentes. Il vaut mieux qu'il les passe sous silence.


Alors, la radiation d'appel rejetée par la juge est peut être une chose pas si négative que ça en y réfléchissant mieux.


En effet, la procédure n'est pas arrêtée, elle suit son cours.


En espérant qu'une date d'audience soit fixée rapidement. J'ai bon espoir, car autre chose très positive, la juge a souligné elle aussi la longueur de la procédure que j'avais mentionné a juste titre et à bon escient.













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9 février 2014 7 09 /02 /février /2014 13:17

Et voilà!

La justice a parlé. Il n'y aura pas de radiation d'appel.

Une condamnation.

Un jugement exécutoire...

Le non respect de la décision d'un juge.

La volonté de demander le respect d'un jugement dans le cadre du droit français.

Et la justice qui tranche en faveur des condamnés leur disant :

Vous êtes condamnés, vous ne respectez pas le jugement, c'est pas grave, continuez, ne vous gênez pas.

Vous prétendez être indigent, être au bord du dépôt de bilan.

Pauvres de vous.

Vous avez payé une partie, c'est bien.

Pour le montant non réglé la victime peut vous envoyer les huissiers pour faire une saisie sur vos comptes bancaires, car la justice ne suspend pas le jugement exécutoire. 

Que la victime se débrouille donc.

Et bien, la victime, comme d'habitude va se débrouiller.

Jusqu'au jour où la victime va péter un cable.

Et la victime sera alors dans le camp des condamnés.

Alors, à ce moment là,  elle sera enfin prise en considération.











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19 janvier 2014 7 19 /01 /janvier /2014 11:30

Je suis toujours sidérée lorsque je reçois un dossier de conclusions des parties adverses.

Cette fois-ci encore, déposé la veille de l'audience, comme à leurs habitudes, le dossier de nouvelles conclusions de la Mutuelle des Architectes Français est affligeant.

Dans le jugement la demanderesse est moi-même.  

La défenderesse est l'architecte.

Les appelés en cause sont la MAF et le constructeur (je passe sur les autres).

La défenderesse a été condamnée, c'est à dire l'architecte, in solidum avec son assurance et le constructeur. Ils sont liés tous les trois pour rembourser les créances demandées. 

Voici exactement ce qui est écrit dans le jugement :

 

LE JUGEMENT CONDAMNE LE CONSTRUCTEUR A RELEVER ET GARANTIR L'ARCHITECTE A HAUTEUR DE 50% DES CONDAMNATIONS PRONONCEES A SON ENCONTRE.  

LE JUGEMENT RAPPELLE QUE LA MAF DOIT GARANTIR L'ARCHITECTE DANS LES LIMITES DU CONTRAT SOUSCRIT AVEC ELLE.

 

Ainsi, au lendemain du jugement, mon avocate a réclammé les sommes dûes à la MAF c'est à dire 80% puisque sa cliente n'est assurée qu'à hauteur de 80%. Mon avocate a réclamé les 20% restant au constructeur.

Comme écrit dans le jugement, l'architecte condamnée se devait d'être dédommagée par le constructeur à hauteur de 50%.

Mais la MAF n'a pas suivi le jugement et la condamnation de sa cliente!

Elle a réglé une somme ne correspondant pas du tout au jugement car elle ne voulait pas, très certainement, se retourner contre le constructeur, pour faire valoir la garantie expliquée dans le jugement.

En résumé, la MAF m'accuse d'être OUTRANCIERE car je devrais m'estimer heureuse puisque, même si je n'ai pas tout reçu, j'ai reçu une somme très conséquente. Il manque encore 43 000 euros à régler!

Comme la MAF accusait mon avocate de ne pas avoir réclamé les sous (incroyable! il y a un jugement, ils sont condamnés, ils ne payent pas et ils accuse la victime de ne pas faire les démarches pour réclamer ce dont elle a droit et qui est écrit dans le jugement!) nous avons envoyé les huissiers.

Et bien, maintenant, je suis outrancière car j'ai envoyé les huissiers pour réclamer mes sous! Et que je devrais faire preuve d'un peu de tolérance car la pauvre architecte indigente a du faire un prêt et que le pauvre constructeur est, à cause de moi, au bord du dépot de bilan!

Même avec les huissiers la MAF ne paye pas! Elle refuse disant qu'elle n'a pas à payer! Le pire c'est qu'elle prend le juge d'appel à témoin en lui disant que je suis incohérente dans mes réclamations!

C'est vrai!

Quelle incohérence!

Vouloir qu'un jugement exécutoire s'exécute! Et que ce jugement soit respecté par cette assurance!

Donc la prochaine étape est que nous avons confirmé notre demande de radiation d'appel si les 43 000 euros restant ne sont pas payés. L'audience a eu lieu le 14 janvier 2014 après deux renvois acceptés par la juge de la mise en état. Cette juge a mis en délibéré au 28 janvier 2014.

Donc, le 28 janvier 2014, je saurai si il y a une radiation d'appel ou pas.

Ensuite...Affaire à suivre!

   

 

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 15:16

C'est avec effroi que j'apprends,  une fois de plus, que l'audience du 10 décembre a été renvoyée à la demande de l'architecte,  au 14 janvier 2014.

A cette audience, le juge de la mise en état du dossier devait statuer sur la radiation d'appel que nous avions sollicitée afin d'inciter les parties adverses à payer leur condamnation.

Force est de constater qu'ils ont été condamnés.

Force est de constaterqu'ils n'ont pas payé les sommes dues.

Force est de constater que maître Pinet a réclamé trois fois les sommes.

Force est de constater qu'ils n'en ont rien à foutre.

Force est de constater que, dans leur conclusions tout est de ma faute.

Force est de constater que le stratagème est de forcer le juge de la mise en état a faire renvoi car ils déposent leurs conclusions la veille de l'audience.

Force est de constater que ça marche, tout comme en première instance. (13 renvois d'affiler)

Force est de constater que pour notre justice le non respect des jugements est recevable et que l'on peut continuer sans aucune sanction à déposer des demandes de renvoi abusives, sans pour cela être obligé d'exécuter le jugement exécutable.

Force est de constater que ce sont les victimes qui supportent cela sans pouvoir rien faire que d'attendre le bon vouloir d'un juge qui décidera,  quand il le voudra, s'il le veut, la poursuite des contrevenants.

Force est de constater le pouvoir de la MAF et de ses avocats.

Une saisine d'huissier part ce jour à l'encontre des parties adverses pour faire exécuter le jugement.

Je ne supporterai pas les frais d'huissiers, que ce soit bien clair pour tout le monde.

 

 

 

 

 

 

 

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 15:35

Je suis accueillie par mon avocate : Madame Sorbe, mauvaise nouvelle, le jugement est repoussé! POISSON D'AVRIL! Heureusement je n'ai pas en la moindre seconde pour y croire!

Une petite cigarette dans le patio, pas moi...

Un café au distributeur...Pas de toilette...

Déjà 10h30...Un texto de mon fils : son dernier va être hospitalisé pour déshydratation...

Je suis ZEN!

Grande bibliothèque avec des parties adverses absentes, seuls le constructeur et la MAF sont représentés par leurs avocats mais, ce ne sont pas les mêmes. Une femme pour le constructeur alors que durant toutes les expertises c'était un mec.

Et, le grand ponte, je pense, pour la MAF : la pointure. Posé, calme ne manquant pas de flatter, de piquer, de roncher contre moi qui ai osé d'opiner de la tête à ses mensonges : milles excuses Monsieur l'avocat de la MAF vos propos méritaient plus qu'un opinement du chef...Je vous aurai bien...fustiger verbalement...Mais pas le droit, je me suis donc contenue...Milles excuses qu'un hochement de désaccord ait pu s'échapper de mon cerveau, parcourir nerfs et synapses de mon cou de gauche à droite lorsque vous avez affirmé que l'expert judiciaire n'avait fait aucun sondage!

Et vous Madame l'avocate du constructeur...Vous êtes passée devant moi en me saluant courtoisement, presque comme si j'étais votre cliente! Et après, vlan! Il faut dire que défendre le constructeur n'est pas chose facile ni du côté de son manque d'assurance décennale ni du côté de sa responsabilité dans les malfaçons. Mais de là à m'accuser de faire exprès d'allonger la procédure pour me constituer une retraite complémentaire...Maître Pinet, mon avocate, a failli s'en étouffer de rire, le juge lui, en a souri. Se servir d'un trait d'humour noir d'un article de mon blog est d'un goût fort douteux et le tribunal aura très certainement aprécié.

Ce qui a été le plus déplaisant dans votre plaidoirie c'est l'incohérence de vos propos sur les experts judiciaires. Vous tirez à boulet rouge sur un expert judiciaire qui ne va pas dans le sens de votre client. Par contre vous encenser les deux autres dont un, est démissionnaire obligé et l'autre, violeur du code de déontologie des experts judiciaires. 

Vous encenser également un conseiller technique de la MAF qui ne veut pas reconnaitre dans ce dossier les manquements du constructeur face au DTU qu'il a lui-même contribué à écrire.

Le tribunal appréciera...

J'ai aprécié l'intervention de mon avocate qui a eu l'audace de dénoncer les "magouilles" de la MAF devant son avocat qui n'était pas très content et il lui a fait savoir de façon assez courtoise, je dois le reconnaître.

J'ai aprécié également l'écoute des trois juges : une impression positive sur certains propos concernant le constructeur, l'architecte mais aussi le comportement tendentieux des deux experts judiciaires au service des parties adverses.

Le délibéré est fixé au 4 juin 2013 : encore 2 longs mois à attendre pour savoir si une autre expertise judiciaire, la troisième, est accordée par le tribunal ou bien si c'est terminé.

Dure journée...



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1 avril 2013 1 01 /04 /avril /2013 09:02

C'était une longue attente.

Un hiver froid, gris et pluvieux.

Une attente à cause d'un calendrier supplémentaire inutile.

Une attente qui mine, rend irracible et crée de la fatigue et de la rencoeur.

Depuis septembre 2010, l'expert avait tranché : la maison était à détruire.

Une demande d'expertise nouvelle avec un sapiteur a été demandée : refusée par le juge puis demandée par l'expert lui même et acceptée par le président du TGI.

Début 2011, 2012, début 2013, et enfin un jugement va avoir lieu.

8 années se sont passées depuis le premier contact avec l'architecte. 8 années que je ne vis plus chez moi par choix pour (le temps de la construction : cela ne devait durer qu'une année maximum) puis par obligation (à cause des ennuis de construction)!

7 années et 5 mois se sont passées depuis les premiers ennuis avec le constructeur et l'architecte.

7 années et trois mois d'expertise et de procédure judiciaire.

Suis-je au bout?

Pas si sûr!

Espérons...

J'ai toujours foi en la justice demon pays malgré des périodes de doute, malgré l'incompréhension de certaines décisions.

J'aurai beaucoup appris sur les techniques de construction, j'aurai beaucoup appris sur le fonctionnement de la justice dans un TGI, j'aurai beaucoup appris également sur le genre humain : pas beau!

Attente....Encore quelques mois....ou plus...Allez savoir?

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 17:18

Il y a des termes qu'on ne saurait même pas que ça existe...

Demande de requête en rabat d'ordonnance de cloture...

Cool...

Une petite explication s'impose.

Il y a quelques temps je contacte une architecte pour faire un nouveau projet afin de pouvoir choisir ensuite avec plusieurs projets d'une nouvelle construction. Cette architecte travaille avec son mari qui est constructeur de maison bois. Elle fait donc des plans de maisons en bois. Elle devait (et oui, c'est du passé) me faire un avant projet sommaire pour la nouvelle construction.

A partir de 2013, les maisons neuves se doivent de respecter la RT 2012, ce qui entraîne un surcout inévitable qu'elle a chiffré à 20%. Elle me fait une attestation en ce sens à produire au tribunal, pour réévaluer le prix de l'expert.

Et voilà que la MAF s'en mêle!

L'expert de la MAF lui écrit pour lui demander de faire une attestation expliquant que sa première attestation ne concernait pas ma future maison bois.

Et cette niaise, elle le fait!

Comme la MAF a maintenant une attestation datée du 11 mars c'est à dire après la date de cloture du dossier qui était le 08 mars, elle demande le report, le rabat de la cloture du dossier!

Quant à l'architecte, son avant projet, son projet et sa construction elle me se la mettre...à la poubelle...

Je ne me suis pas privée de le lui écrire...

La lettre...dans le prochain article...

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 08:37

Encore une semaine avant que le dossier ne soit clos.

J'avoue que cette date est pour moi importante car elle marque le début de la fin.

Elle marque également la fin du temps des mensonges, des fausses accusations, des dossiers interminables à lire, à analyser, à amender. Elle marque la fin des questions à se poser, des vérifications. Elle marque la fin du stress, de la colère, de la déprime. Enfin, j'espère qu'un autre calendrier ne va pas se greffer ensuite, ce qui serait le comble!

Il faudra ensuite attendre le 02 avril 2013, date de l'audience de jugement, puis le délibéré. J'espère que le juge fera au plus vite, car tout cela a vraiment assez duré.

C'est pour cela que le jugement devrait être exécutoire. Un jugement est exécutoire quand il est prouvé que la période de mise en état a été très longue et qu'il est temps, grand temps d'en finir.

Je pense que c'est le cas, non seulement pour moi, mais aussi pour mes adversaires qui me sont redevables de privations de jouissance qui doivent commencer à leur peser sur le porte monnaie.

J'espère avoir de bonnes nouvelles vers la mi-Mai.

Je ne suis pas à l'abri d'un retournement de dossier, d'une nouvelle date imposée par le juge : je sais, mais je n'ose y penser...

Soyons positif...et...attendons encore un peu.

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 17:07

Dans un précédent article je disais que le nouveau calendrier judiciaire ne servait à rien!

La date du 14 décembre est passée et aucun dossier n'a été déposé sauf celui du constructeur sans aucun point iu fait nouveau.

La MAF n'a donc pas déposé de dossier.

A quoi donc sert ce nouveau calendrier judiciaire?

Personne à ce jour n'est capable de répondre.

Mon avocate a demandé la clôture du dossier au juge qui a maintenu le calendrier.

Nous attendons donc, pour rien, la date du 2 avril 2013.

Tout aurait pu être terminé le 26 octobre 2012. Le juge aurait pu statuer y compris sur la demande de nouvelle expertise des parties adverses. Mais il n'a pas pris la décision. Pourquoi?

Personne n'a de réponse.

Conséquences : attente pour rien et durant cette attente tout le monde perd.

Moi, je perds patience, je perds la santé, j'y perds ma vie!

Les autres y perdent de l'argent : 800 euros par mois supplémentaire pour ma privation de jouissance!

Quel intérêt ont les magistrats à agir de la sorte : aucun non plus...Ils encombrent leur tribunal pour rien...Ils se discréditent...Ils s'exposent à de possibles conséquences graves pour les victimes qui peuvent péter un câble, qui peuvent tomber malades, qui peuvent même mourir!

Alors le dossier deviendra pour eux un boulet à traîner toute leur vie...Si de telles éventualités se réalisaient...

Personne donc n'y trouve son compte, personne...



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1 novembre 2012 4 01 /11 /novembre /2012 10:54

Une petite question tourne en rond dans ma petite tête...


Comme souvent, les questions que je me pose s'avèrent être intuitivement justes, et ce, depuis le début de la construction...

Questions au constructeur....

Questions au consultant...

Questions à l'architecte...

Questions sur les experts...

Questions sur les procédures...


Elles ont toutes trouvé réponses au fur et à mesure de mes recherches et de l'avancement de mon dossier judiciaire.

Les réponses ont toutes prouvé que mes questions étaient légitimes et sensées.

Les réponses étaient celles que je j'attendais.

 

En voici donc une autre :

Pourquoi le juge de la mise en état a-t-il établi un autre calendrier judiciaire pour dépots de nouvelles conclusions par toutes les parties, alors que toutes les conclusions ont été déposées par toutes les parties?

 

J'ai une hypothèse...

Va -t-elle, elle aussi, être validée un peu plus tard...

La suite des évènements du dossier me le dira très certainement.

 

Voici cette hypothèse :

La Mutuelle des Architectes de France, partie prenante du dossier et pas la moindre, a raté la date du 21 juin pour conclure et n'a établi ses conclusions que le 5 juillet, soit 15 jours après.

Or, le Juge avait écrit qu'il n'accorderait aucun report cette fois-ci.

Mon conseil, Maître Pinet, a bien évidemment souligné cela dans nos conclusions, et a demandé d'écarter des débats, les conclusions de la MAF, puisque hors délais.

 

Est ce que le juge a voulu donné une nouvelle date à la MAF afin que ces conclusions soient prises en considération?

Le nouveau calendrier judiciaire est-il établi pour servir les intérêts de la puissante MAF?

 

L'avenir nous le dira, avant le 14 décembre 2012, nouvelle date pour les conclusions des adversaires.

 

En effet, si la MAF établit de nouvelles conclusions, identiques aux précedentes pour cette date, alors preuve sera faite.

 

Sinon, je concèderai m'être trompée et le juge aura très certainement répondu à ma lettre pour me fournir une explication.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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  • : Du rêve au cauchemar
  • : Un rêve : construire une maison bio climatique avec le plus imminent spécialiste en la matière, doublé d'une architecte spécialisée et d'un constructeur recommandé. Un cauchemar : des mensonges et des fautes professionnelles, des malfaçons irrémédiables, une action en justice obligée, interminable. Toute une vie chamboulée et même menacée.
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